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Une histoire débute toujours quelque part. À l'endroit même d'une vision sublime que la physique fut impuissante à restituer.
C'était en juillet 2017 à Fort-de-France, aux abords de la plage de la Française : la lumière était si vibrante, si belle, qu'elle ne put être contenue dans le cadre d'un smartphone.
Alors, là où le capteur optique échoua, les mots et les vers révélèrent l'éclat...
Ainsi naquit Tropiques des dimanches et toute une poésie qui ne m'appartient pas, mais dont je n'ai fait qu'arpenter les ruelles mal éclairées : les chroniques d'une vie ordinaire ou presque, avec ses inclinaisons marginales et ses fulgurances romantiques.
Mais quelle mystérieuse ardeur faut-il pour avoir foi, aujourd'hui encore, en l'écho que rencontreront les mots rassemblés, pourléchés, disposés avec patience ou frénésie sur un coin de page ?
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