80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Une fois encore, après les jeux de berlin en 1936 et ceux de moscou en 1980, entre autres, l'olympisme propose le spectacle affligeant des affinités électives entre le monde du sport et, dit de manière générique, le fascisme.
Le collectif anti-jeux olympiques (cajo) entend ici poursuivre la lutte, entamée par ailleurs, pour le boycott des jeux de pékin 2008 en réunissant dans cet ouvrage des textes d'horizons divers. ce boycott est nécessaire, car il évitera d'abandonner le terrain du symbolique, de faire croire que les jeux n'ont pas d'intérêts politiques, de laisser l'institution sportive répéter encore et encore les mêmes fariboles, il permettra de dénoncer les accords politiques et économiques qui ne s'embarrassent pas de droits de l'homme, d'arrestations, de tortures, de camps de travail et de rééducation, d'internements psychiatriques, de pollutions, d'impérialisme.
Parce que la chine est un pays totalitaire, parce que les jeux olympiques, quel que soit le lieu de leur organisation, restent une manifestation répressive, un opium qui abrutit et détourne toutes les populations dominées de leurs intérêts de classe, pour mettre la pression sur l'un des pires régimes politiques et pour pouvoir encore se supporter, un seul mot d'ordre : boycott !
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