"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Paul Facchetti ouvre à Paris, en 1951, une galerie d'art qui défend l'abstraction lyrique et contribue à faire découvrir l'expressionnisme abstrait américain.
Il réalise ainsi la première exposition personnelle de Jackson Pollock en Europe. Paul Facchetti n'est pas un simple marchand de tableaux. Faisant de son talent de découvreur l'obstination de son métier, il a su transformer son studio de photographie en une galerie pilote sur près de deux générations de peintres. C'est alors la grande époque de l'informel, de l'abstraction lyrique qui s'oppose à l'abstraction géométrique.
Le studio s'engage ainsi dans la peinture gestuelle, le tachisme et le matiérisme, avec des artistes aussi divers que Mathieu ou Michaux, Dubuffet ou Schultze, Appel ou Hundertwasser. De cette aventure se dégage le panorama artistique d'après-guerre : Paris, qui se veut encore le centre des arts, voit New York revendiquer à son tour la première place.
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