"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Aux yeux d'un Occidental, Séoul n'est ni une ville de charme ni un haut lieu du tourisme, ni une de ces métropoles modernes que le cinéma ou les livres de voyage nous ont préalablement rendues familières.
La langue qu'on y parle, et qui s'inscrit sur ses enseignes, nous est énigmatique. La ville expose quelques richesses, mais en dissimule bien d'autres. Pour découvrir Séoul, pour la comprendre, il vaut mieux user de ce singulier sauf-conduit : la littérature. Telle est la voie qu'adopte ce " Passeport ". A mi-chemin entre guide de voyage et anthologie littéraire, le visiteur y trouvera autant d'informations subjectives que de renseignements d'ordre pratique.
Dire Séoul, la raconter, c'est d'abord évoquer, par le poème, par la nouvelle, les sentiments mêlés que suscitent le gigantisme urbain, le dynamisme immobilier et démographique, la cherté de la vie. Mais c'est aussi décrire les échappatoires, les pratiques sociales ou religieuses, l'évolution des relations hommes/femmes. Révéler, donc, dans les interstices de la promenade touristique, cette vérité immatérielle : comment les Séouliens vivent leur ville.
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