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Porté par l'élan de son exposition « Vivement le cinéma », le musée d'Orsay nous plonge dans une exploration de l'impact de ses collections sur le cinéma, à la recherche d'un prolongement de l'histoire culturelle du XIXe siècle qui transcende autant qu'elle infuse les échanges entre peinture et cinéma.
À travers 50 entrées, aussi évidentes que le Moulin rouge de Baz Luhrmann, inspiré des cabarets de Toulouse-Lautrec, et aussi incongrues que les ressemblances confondantes entre E.T. et les monstres de Léopold Chauveau, ou encore le tableau de Whistler dans Mr. Bean, cet ouvrage revisite les chefs-d'oeuvre du musée via le prisme du monde fantastique du cinéma sous tous ses aspects : les décors (Terry Gilliam citant Gustave Doré), les costumes (les péplums selon David et Gérôme), le maquillage (les expressions délurées de Gollum serait-elles tirées de Carriès ?), la musique, le montage... Et dévoile autant de références cachées dans l'histoire du cinéma que de pépites dans les collections du musée, prouvant que le cinéma ne pouvait que naître au XIXe siècle et que le musée d'Orsay porte en ses collections les ingrédients fondamentaux de notre culture cinématographique.
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