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Dans ces deux textes plus que dans les précédents, c'est la manière d'écrire qui a révélé les personnages et qui leur a dicté ce qu'ils nous racontent de leur solitude. Et c'est pas joli joli !
One two one two three four est le troisième volet d'une trilogie débutée avec Bouge plus ! suivi de Christ sans hache (Les Solitaires Intempestifs, 2006). Deux personnages, compagnons d'infortune, tentent de faire revivre un monde disparu en l'évoquant sous forme d'inventaires, de souvenirs, de poèmes. La seule cohérence de leurs récits, l'unique moyen qui leur est donné de mesurer le monde, c'est leur ivresse. Se joignent à eux une fille et un orchestre.
Dans Deux mots, une fille vide son sac. Le sac est marron, la fille en sort un petit carnet, un tube de crème, un légume, un pistolet, etc. Chaque objet est l'occasion de raconter un peu de ce monde réduit aux dimensions d'un sac.
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