Incontournable de cette rentrée littéraire, Sébastien Spitzer est le lauréat du Prix Stanislas 2017 pour son premier roman "Ces rêves qu'on piétine"
Les Nouvelles orientales de Marguerite Yourcenar ont paru en 1938 chez Gallimard, dans la collection « Renaissance de la nouvelle » dirigée par Paul Morand. Ces contes et nouvelles avaient été publiés initialement, pour la plupart, dans des revues littéraires durant l'entre-deux-guerres. Marguerite Yourcenar a revu la composition de son recueil en 1978, afin de n'y retenir que dix de ces courts récits tirés tantôt de fables, de légendes ou de textes littéraires authentiques, tantôt de faits divers ou de superstitions contemporains. De la Chine à la Grèce, des Balkans au Japon, ce recueil constitue un ensemble à part dans l'oeuvre puissante de la grande romancière, mêlant le rêve à la réalité de façon subtile, ardente et magistralement maîtrisée.Admirateur de l'oeuvre de Marguerite Yourcenar, Georges Lemoine avait déjà illustré deux des Nouvelles orientales pour la célèbre collection « Enfantimages » de Gallimard Jeunesse : Comment Wang-Fô fut sauvé (1979) et Notre-Dame des hirondelles (1982). Désireux de poursuivre ce travail, il illustre aujourd'hui l'ensemble du recueil pour la NRF, avec vingt-sept dessins inédits.
Incontournable de cette rentrée littéraire, Sébastien Spitzer est le lauréat du Prix Stanislas 2017 pour son premier roman "Ces rêves qu'on piétine"
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