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Que doit-on montrer, que doit-on cacher au théâtre ? Et au nom de quels principes ? Au 17e et au 18e siècles, ces questions essentielles concernent avant tout les auteurs. En l'absence de véritable « metteur en scène », ceux-ci cherchent en effet à inscrire dans leurs oeuvres toutes les indications spectaculaires jugées nécessaires à leur représentation, et ceci en conciliant les exigences de la fiction théâtrale, les préceptes esthétiques et moraux en vigueur, et les contraintes techniques imposées par la scène. Enjeu majeur de l'art dramatique, la problématique du montré et du caché intéresse néanmoins également les théoriciens des deux siècles, les illustrateurs des pièces, et bien entendu les metteurs en scène contemporains, qui envisagent de façon radicalement nouvelle les rapports entre le dit et le représenté. Textes, mises en scène, pratiques de jeu, iconographie constituent donc les objets d'étude des contributions rassemblées dans ce volume.
Si différentes soient les approches de la problématique générale, deux axes de recherche principaux ont été privilégiés : l'analyse des relations entre le montré et le caché, des règles qui président à leur distribution (dans les pièces, leur mise en scène, leur impression par les typographes, les documents d'archive, ...), et une réflexion sur le statut du texte et de l'image dans l'expression théâtrale de l'âge classique.
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