L’adaptation portée par le couple Yvan Attal-Charlotte Gainsbourg sera dans les salles le 30 octobre
Un énorme chien à tête d'ours, obsédé et très mal élevé, débarque un soir dans la vie d'Henry J. Molise, auteur quinquagénaire raté et désabusé qui n'a qu'une envie : tout plaquer et s'envoler loin de sa famille qui le rend fou. Malgré l'affection d'Henry pour la bête, sa femme Harriet et ses quatre enfants restent méfiants à l'égard de ce canidé indomptable. Dans la coquette banlieue californienne de Point Dume, au bord du Pacifique, ce monstre attachant s'apprête à semer un innommable chaos. Un joyau d'humour loufoque et de provocation ravageuse.
L’adaptation portée par le couple Yvan Attal-Charlotte Gainsbourg sera dans les salles le 30 octobre
"Qu'il emporte mon secret", le dernier roman de Sylvie Le Bihan
Henry, écrivain quinquagénaire en perte de vitesse, rentre un soir chez lui et découvre qu'un énorme chien y a élu domicile. Ce nouveau compagnon va déstabiliser la famille d'Henry, qui, déjà, ne tenait pas vraiment debout.
Un roman assez drôle qui m'a fait penser à ceux de Jonathan Tropper (que je préfère pour être honnête!) et a nourri mon goût des héros loser.
A lire avec un poilu à ses pieds.
cynique mais pas mal dans son genre.
Mon chien stupide … un roman qui était sur ma liste de lecture depuis plusieurs années !
Et je viens de franchir le pas grâce à « Lecteur.com », qui m’a permis de gagner cet ouvrage !
Il m’aura fallu quelques chapitres avant de rentrer dans cette histoire. En effet l’arrivée de ce chien un peu particulier dans cette famille californienne m’a un peu déconcerté …
Mais finalement, John Fante dresse un portrait grinçant sur l’Amérique des années 80 ! La famille, les relations de couples, les enfants qui grandissent et commencent à envisager de quitter le foyer, le racisme…
Le rêve américain en prend un coup ! Parfois drôle, parfois désabusé et grinçant!
Je recommande cette lecture !
Rien ne va plus dans la vie du narrateur : l'écrivain en mal de succès est en pleine crise existentielle et aimerait bien tout plaquer pour une nouvelle vie en Italie, pays de ses parents et de tous ses rêves. A défaut, le voici coincé entre une épouse qu’il n’aime plus guère, quatre grands enfants révoltés en perdition, et un roman qu'il ne parvient pas à écrire. Surgit alors un énorme chien bien décidé à s'incruster chez eux, qui va bousculer le fragile équilibre de la famille.
Cette tragi-comédie publiée à titre posthume comporte de nombreux traits autobiographiques. L'auteur s'est amusé à dépeindre avec lucidité et dérision les mille tracas et médiocrités de son existence. Il nous entraîne dans une cascade d'événements plus ou moins désagréables, voire catastrophiques, où il se retrouve le plus souvent, et bien malgré lui, en mauvaise posture, ridiculisé et méprisé par son entourage.
A vrai dire, je m'attendais à rire et me suis retrouvée presque attristée face à un homme désabusé qui a perdu le sens et le contrôle de sa vie. Certes, les situations sont humoristiquement exagérées, mais j'ai finalement plus perçu la mélancolie désespérée que la drôlerie des plaisanteries. L'écriture est cynique, grinçante, parfois crue, en tout cas, rien n'adoucit sa féroce noirceur et la désillusion ambiante.
Je suis donc ressortie mitigée de cette lecture, admirative de la plume indéniablement maîtrisée, mais seulement très partiellement amusée par les situations et les personnages pour lesquels je n'ai pu ressentir de réelle sympathie, même pour ce grand chien stupide.
Cynique, caustique et bien écrit.
Voilà les mots qui me viennent à l'esprit à la fin de ma lecture.
Le récit tourne autour de quelques mois de la vie d'un écrivain "raté" d'une cinquantaine d'années. L'histoire s'ouvre sur l'arrivée d'un chien errant dans la vie de l'écrivain, Henry Molise. Un chien pervers, qui tente de calmer ses ardeurs sur les mâles, hommes ou chiens. Henry s'y attache, sa femme Harriet le déteste. Pendant ces quelques mois aux côtés de la bête, Henry partage avec son lecteur ses pensées, ses tracas, ses doutes sur le réel sens de sa vie, ses journées, ses relations avec ses quatre enfants devenus jeunes adultes, qu'il voit partir de la maison un à un au cours de cette période. Le livre date des années 80, l'action se déroule aux Etats-Unis.
Difficile d'avoir un avis sur le personnage d'Henry. Ce qu'il raconte de lui n'est pas toujours très flatteur. On ne peut lui enlever son honnêteté dans le partage de ses réflexions.
Ecrivain qui a eu son heure de gloire quand il était plus jeune, il pointe maintenant au chômage. Cynique, raciste tout comme sa femme, ils ont beaucoup de mal à accepter que l'un de leurs enfants s'attache à des femmes noires. Les relations entre le père et les enfants sont complexes, certains rejettent l'état d'esprit étroit de Henry et s'amusent à le faire tourner en bourrique. L'amour familial s'exprime d'une façon particulière, les paroles et interpellations entre père et enfants sont parfois brutes, j'en ai été assez surprise, de la part d'une famille qui se veut d'un milieu social plutôt élevé et dont l'action se situe dans les années 80. Henry rêve de s'échapper de son quotidien. Avec ou sans sa femme ? Bien souvent, ses rêves de liberté à Rome, il les voit sans sa femme. Entre eux, ce sont les montagnes russes, les crises étant régulièrement provoquées par l'arrivée d'un chien dans la famille. Le départ de ses enfants, certains de façon volontaire, d'autres pour cause de conscription, il en est à la fois acteur et spectateur.
Et Stupide dans tout ça ? C'est le nom qu'Henry a donné au chien. Un nom qui traduit le cynisme, le piquant et l'ironie du narrateur. Stupide, qui fera quelques dégâts autour de lui...
Par curiosité, parce que les acteurs me plaisent, je pense regarder un jour l'adaptation cinématographique.
Je remercie Lecteurs.com et les éditions 10/18 pour l'envoi de ce roman.
Un livre très drôle où la famille est au coeur de l'histoire.... avec un chien pas si stupide !
C'est la sortie récente du film d'Yvan Attal qui m'a donné envie de lire le livre de John Fante.
C'est à la fois drôle, original, plein d'humour, décalé, bouleversant. Un plaisir de lecture, je ne me suis pas ennuyé une minute, une réussite.
J'ai reçu deux places de cinéma pour aller voir Mon chien Stupide. Je remercie Lecteurs.com pour cet envoi.
Je n'ai pas lu le livre et c'est avec curiosité que je suis allée voir ce film.
J'AI ADORE !
Ce film aborde le thème de la famille, du couple et des enfants mais aussi sur les choix que l'on peut faire dans une vie : via la crise de la cinquantaine, la famille explose, les vérités sont dites...
C'est cruel, jubilatoire, authentique et très pertinent.
Yvan Attal et Charlotte Gainsbourg sont formidables.
Un film très réussi, sur toute l'importance de la famille et sur l’essentiel d'une vie.
A voir.
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