80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Des carrières aux mines d'antimoine ou de charbon, des tuiliers aux chaufourniers, des industries agro-alimentaires, Louis Biret de Pouzauges puis Fleury-Michon pour la viande, et les conserveries de poisson du littoral, des chantiers navals de La Cabaude au Quai des Grenier à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, des fabriques de galoches et de savates à la chaussure, de l'industrie du meuble, les chapelleries, la confection et les papeteries...jusqu'à l'industrialisation des années 1960-1970, tout un petit peuple d'ouvriers et d'ouvrières a animé le mouvement social de la fin du XIXème siècle au XXème dans ce département rural et agricole de Vendée. Mais que reste-t-il de cette "Mémoire ouvrière" aujourd'hui ? Florence Regourd, historienne de la Vendée ouvrière et le CDHMOT (Centre de Documentation sur l'Histoire du Mouvement Ouvrier et du Travail) retrouvent ces lieux de production à travers les cartes postales, les plans et les affiches, les tableaux d'artistes vendéens.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année