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Vlaminck est avec Derain et Matisse un des trois artistes phares du fauvisme mais le grand public connaît sans doute mieux ses dernières oeuvres que celles de sa période fauve et cézannienne.
La période fauve commence à la fin de 1904 lorsque Derain revient de l'armée. Les deux amis vont travailler de conserve. Les années 1905 et 1906 sont flamboyantes pour Vlaminck, elle relève d'une relation spontanée, instinctive à la couleur : Rue à Port- Marly,1905 Vlaminck, sous l'influence de Van Gogh qu'il déclarait aimer mieux que son père, utilise une technique violente, caractérisée par l'emploi arbitraire des couleurs pures: « Je voulais brûler, avec mes cobalts et mes vermillons, l'Ecole des Beaux-Arts et je voulais traduire mes sentiments sans songer à ce qui avait été peint... Quand j'ai de la couleur dans les mains, la peinture des autres je m'en fous : la vie et moi, moi et la vie. En art, chaque génération doit tout recommencer ».
Aucun autre fauve ne rejette autant que lui toute tradition, tout enseignement, toute influence.
L'hiver dans les champs, Rueil, 1905
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