80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
"je m'appelle Aïcha mais j'aurais dû m'appeler Samia."
Des prénoms et des femmes. Une Saga où se mêlent et s'entremêlent le rôle de la mère, l'influence de la soeur, l'importance de la grand-mère, l'effacement de l'épouse, la détermination de la tante et ce, en traversant quelques décennies d'une société algérienne en perpétuelle effervescence.
Roman à fiction polyphonique, il dessine une chromatographie du sentiment féminin surfant entre le rêve qui engendre l'espoir, les amours étouffées par l'interdit, les joies éphémères laissant place à l'abdication, parfois au renoncement.
Loin du cliché de la femme-mère, la saga dresse une galerie féminine beaucoup plus personnelle qui permet de découvrir l'intimité cachée, enfouie, préservée du regard d'autrui.
Un plongeon dans un univers psychologique méconnu, souvent occulté ... à découvrir.
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