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«Magie Blanche» fait suite à «Magie Noire» du même auteur. Après nous avoir éclairé dans un premier volume sur la magie noire sapant la société postmoderne, François-René Rideau prend cette fois le prisme inverse pour en mettre en lumière la magie blanche aux multiples couleurs. Ces couleurs riches et diverses, l'auteur les voit venir de la liberté et du libéralisme, en parfait écho donc à la magie noire de l'État dénoncée dans le tome précédent. Pour nous en convaincre, il procède en quatre temps. Une première partie introduit au libéralisme en tant que doctrine et philosophie : que le lecteur avisé ne s'y trompe pas, François-René Rideau sait trouver bien des angles nouveaux. Pour lui, l'exigence de Liberté est forte, ce qui le pousse à nous la faire bien comprendre. Il dresse donc ensuite un panorama des diverses confusions rencontrées, tant chez des auteurs libéraux que chez les nombreux détracteurs. Puis vient l'analyse de quelques stratégies destinées à remettre la liberté à bord de la société des hommes - autant d'occasions de prendre encore le lecteur par surprise. Pour finir, il en vient au lien entre libéralisme et économie, que beaucoup pensent être le seul. Son attention se concentre sur la méthodologie de l'analyse économique, appuyant sur le caractère très rigoureux et scientifique, pour conclure quant à la magie blanche. Ici encore, l'auteur se signe par un ton vif et acerbe, une écriture où la précision prime. On retrouve l'auteur de «Magie Noire», qui a troqué le costume de démystificateur du socialisme pour celui de porteur d'un libéralisme radical.
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