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Au tournant des XVe et XVIe siècles, Florence exerce une fascination sur le monde. La République dirigée par les Médicis est enviée pour sa prospérité, ses splendeurs mais aussi ses intrigues.
Deux hommes, que tout oppose, cherchent à s'imposer dans la ville en dominant les consciences. Le premier, Jérôme Savonarole, a un tempérament de feu. Prédicateur exalté, ce dominicain prétend recevoir des messages de Dieu. Il remplit les églises, appelle à brûler les « vanités » : bijoux, parfums, jeux de cartes. Le nouveau maître de Florence provoque la fuite des Médicis jusqu'au jour où le pape l'excommunie. Il finit torturé, pendu, brûlé.
À l'inverse, Nicolas Machiavel, est la glace, la prudence, le calcul. Après l'exécution de Savonarole, cet ancien secrétaire de la Seigneurie, dont les Médicis se méfient tout autant, essaye de s'approcher du cercle enchanté du pouvoir. Il dispose pour cela d'une arme redoutable : sa plume. Machiavel dédie son essai, Le Prince, à Laurent le Magnifique.
Le machiavélisme est né ou l'art de conquérir et de conserver le pouvoir par la « ruse du renard » et la « force du lion ».
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