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C’est soulagée que je termine la lecture de ce long, très long récit
Thomas Berger, transcrit ici, le récit d’un vieux monsieur finissant ses jours en dans un centre. Jack Crabb, est un personnage hors du commun ; un blanc, orphelin, adopté par les cheyennes, et qui fera de multiples allers en retours entre le monde indiens et le monde blanc, dernier survivant de la bataille de Little Bighorn, ayant bien entendu côtoyé le général Custer avec lequel il entretint des relations ambigües et conflictuelles.
De ce récit, on peut retenir que dans le monde indien, tout est en nuance, tout est complexe. La culture indienne est ici bien exposée, sans l’enjoliver, ni la discréditer. Sa condition de blanc parmi mes indiens, lui a donné un regard lucide tat sur eux, que sur l’implacable marche en avant de la majorité blanche à la conquête du territoire américain.
J’ao apprécié le côté épopée qui à elle seule est intéressante, bien que je l’ai souvent trouvée roborative. L’auteur aurait sans doute gagner à l’écrémer, d’autant qu’il a tenu à respecter le style du vieux monsieur, parfois un peu simple.
On pet s’interroger sur la véracité du propos ; l’auteur lui-même en épilogue ne s’en cache pas ; Cela reste donc en suspens…
Pour ma part, je ne peux pas dire que je ne n’ai pas aimé ce récit ; en revanche il m’a semblé beaucoup trop long, souvent indigeste. Sans doute aurais-je gagné à en visionner le film réalisé par Arthur Penn, et qui semble avoir bonne presse.
Une lecture en demi-teinte, intéressante historiquement, mais sans plus.
https://leblogdemimipinson.blogspot.com/2022/07/little-big-man.html
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