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Pourquoi un traité sur la bonne gouvernance datant de 25 siècles serait-il anachronique quand sa partie sur l'art de la guerre est toujours considérée comme un chef-d'oeuvre de la littérature militaire ?
Arthashastra peut-être traduit comme le « traité de la Prospérité des nations ». Kautylia y fait la synthèse des débats de sciences politiques dans l'Inde antique.
Jamais traduit en français, à l'exception des chapitres sur l'art de la guerre (Traité du politique, Gérard Chaliand, éditions du Félin, 1998) et de quelques parties secondaires (chez Marcel Rivière en 1971), sa lecture pourra sans doute éclairer le citoyen ordinaire à un moment où tous les symptômes d'une crise de la gouvernance sont là et notamment la dévaluation des élites politiques, administratives mais aussi de la justice, du monde des affaires ou des médias.
Or on trouve dans ce traité tout un ensemble de principes régissant le choix du bon souverain, du bon gouvernement, de la bonne administration, l'art d'exercer et surtout d'appliquer la justice, pour in fine atteindre la prospérité de tous.
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