Med Nadhir Sebaa est né dans l'Aurès (Algérie). Enarque, critique et chroniqueur, il publie des ouvrages et fait paraître des études et chroniques dans des journaux et des revues culturelles.
Poète badinant avec prose et rime, il est aussi un écrivain profondément ancré au terroir, mais ouvert à tous les courants du monde, rappelant par maints côtés, le profil d'un humaniste discret et inaperçu.
Orphelin dès l'enfance, les épreuves qu'il traverse lui enseignent l'humilité et la sobriété. C'est vers la poésie plurielle, brûlante de sincérité, qu'il s'oriente en « carillonneur » et magicien taquin d'un verbe issu d'une improvisation fertile.
Insolite versification donc qui se présente comme une feuille de séquoia porteuse de diaprures, symbolisant tour à tour, souffrance, mélancolie, douleur... mais aussi cette lancinante quête de l'amour, de la vérité, de l'espoir, et dont la nervure nourricière semble ne jamais tarir...
Il est difficile mais ô combien plaisant de lire ces poèmes, qui évoquent le passé, le présent et le devenir de l'homme avec tant de force sans penser à des événements d'aujourd'hui.
L'hymne au désert de celui qui rêve l'univers, aux contours ciselés, tracés par une plume ardente, dénonciatrice, suggestive, s'adresse à l'homme du monde pour en faire son interlocuteur et mieux lui donner la mesure de son devenir. Cet ouvrage peut être considéré comme un ardent appel à l'espoir, à l'amour et au partage...
Fondateur de la revue Les cahiers de la culture, Med Nadhir Sebaa est membre de l'association des écrivains de langue française de Paris et ami de la Fondation Maurice Carême de Belgique...
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