Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Quand la communication devient " phénomène extrême ", situation qui semble correspondre au stade postmoderne des sociétés d'abondance occidentales, apparaît alors la " transparence du mal " (Baudrillard) : la disparition du contraste, l'impossibilité de la réfutation, l'inutilité du contrôle. On passe de la vigilance à la neutralité, par l'indifférence et l'interaction. Dans la modernité, politique et participation formaient un couple administré par la conscience. Dans la postmodernité, l'interaction se substitue à la participation, tout comme l'économie du quotidien prend la place de la politique. On vit, à fleur de peau, pour le bien et le mal. Il y a de la lumière sans ombre. On est dans l'univers paradoxal de l'action passive, du bien sans le mal, de l'affirmation sans la négation, de la négation de toute négation : la positivité absolue. Quand tout est positif, les technologies de contrôle deviennent obsolètes. Mais qu'est-ce qui prend alors leur place ? Les technologies de l'imaginaire.
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