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Une auberge, perdue au milieu de montagnes boisées, est soudainement attaquée par une troupe de soldats vêtus de noir.
Les survivants, un groupe éclectique de guerriers, mercenaires, voleurs et autres rôdeurs ne se connaissant pas les uns les autres, parviennent à se barricader à l'intérieur avant le second assaut. Leur point commun : ce sont tous des professionnels de la survie. Eux ont une chance de survivre là où la plupart périraient.
Ils partagent désormais un objectif double : découvrir pourquoi on les veut tous morts, et surtout, malgré les suspicions et tensions qui se développent entre eux, survivre...
Les Rôdeurs de l'Empire est une saga d'heroic-fantasy loin des châteaux et des cours royales. Elle cible plutôt ceux accoutumés à la boue : soldats, espions, criminels, bref ceux qui se salissent les mains lorsque d'autres donnent des ordres.
Les Rôdeurs de l'Empire est la première saga médiévale fantastique de l'auteur de la série à succès Outsphere.
Un huis-clos médiéval sanglant...
Nous sommes dans une auberge pas loin de la frontière du royaume de Derenos. Notre groupe, composé de quatorze personnes et d'horizons différents sont en train de faire le siège de cette auberge. En effet, celle-ci est attaquée par un groupe d'hommes mystérieux. Qui sont-ils et pourquoi sont ils en train de vouloir rayer de la carte cette auberge si tranquille.
Tout le monde se juge, se jauge car entre les soldats de l'empire, les mercenaires, les chasseurs de primes, les voleurs, les ecclésiastiques et ceux qui veulent juste survivre tous veulent survivre mais tous veulent comprendre
Comment faire quand on ne peux pas, ne serai-ce que poser un orteil dehors?
L'enquête débute en même temps que le siège, mais tout le monde n'en sortira pas vivants ni indemne.
Mais attention aux faux-semblants, ils sont traîtres!
L'auteur s'essaye à la fantasy médiévale et c'est un pari réussi. J'ai été embarquée du début à la fin malgré la multitude (encore une fois) de personnages qui m'ont tout de même perdue.
En effet et ce malgré le glossaire des personnages qui se situe à la fin du roman il me fut compliqué de suivre au départ, mais une fois tout les personnages apparus il est aisé de se situer qui est qui.
Des personnages pour lesquels on ne s'attache pas, car rapidement l'auteur leur donne un destin funeste comme à son habitude et c'est ça que j'aime dans ses sagas. Petite mention pour Cassandra qui réussi à tirer son épingle du jeu malgré sa frêle carrure.
Un univers qui paraît assez large avec des guerriers, des mercenaires et des chasseurs de primes. Mais pas que ça!
De la politique, de la religion et aussi de la magie viennent couronner le tout. Avec de l'action à foison, du rebondissement avec parcimonie et du mystère pour englober le tout.
J'ai ,d'ailleurs, adoré ce côté magie qui n'apparaît que très rarement ici et j'ai hâte de connaître la suite pour en apprendre plus car rien ne nous laisse présager de l'usage de celle-ci.
Un huis-clos dans une auberge qui m'a totalement séduite de part les chances minimes de survie. Attendez vous à du sanglant,
du combat rondement mené et à une raison de ce massacre un peu trop légère, enfin à première vue.
En bref, un fantasy médiéval qui a su tirer son épingle du jeu de par son huis-clos magistralement mené mais aussi ses mystères.
Si vous me lisez régulièrement, vous ne serez pas sans savoir que j’aime beaucoup le travail de l’auteur qui est devenu ma référence en matière de science-fiction. C’est donc un peu frileuse, mais très curieuse que je me suis lancée dans ce nouveau roman qui marque ses premiers pas dans un genre différent, celui de la fantasy. Des premiers pas qui m’ont complètement convaincue, car quel que soit le genre, Guy-Roger Duvert sait clairement divertir ses lecteurs et leur donner envie de prendre part à l’action !
J’aurais aimé un peu plus de détails sur le contexte géopolitique mouvementé, la guerre entre un puissant Empire et une nation pas prête à se laisser envahir étant imminente, mais j’ai apprécié que l’auteur entre rapidement dans le vif du sujet. On fait ainsi rapidement connaissance avec les personnages, ou du moins une partie d’entre eux. Alors qu’ils ne se connaissent pas, ils convergent tous vers une auberge isolée, scellant sans le savoir leur destin : ils pensaient se restaurer et se reposer, ils vont mettre les pieds dans un piège infernal. Mauvais endroit au mauvais moment… il n’en faut parfois pas plus pour faire de votre vie un enfer et vous contraindre à vous engager dans une bataille mortelle.
C’est la première fois que je rencontre un huis clos de cet acabit dans un roman de fantasy et j’ai adoré ça, d’autant que nous sommes tout aussi perdus que les personnages. Pourquoi diantre l’auberge est-elle attaquée et par qui ? Mais plus urgent, comment s’organiser pour faire face à cette attaque-surprise et maximiser les chances de survie des quelques clients qui ne sont pas encore tombés sous les flèches ? La situation semble mal engagée et les forces en jeu parfaitement déséquilibrées bien que l’on ne sache pas grand-chose sur les attaquants et leur nombre. Mais les survivants ne sont heureusement pas tous aussi dépourvus de ressources que la serveuse de l’auberge complètement ahurie par la situation.
Parmi les personnes encore debout, des militaires, des criminels, des mercenaires, une voleuse, un chasseur de primes… En d’autres termes, pas des enfants de coeur, mais des individus pas toujours fréquentables qui n’ont pas peur de se retrousser les manches, de riposter et de faire couler le sang ! J’ai beaucoup aimé la galerie de personnages aussi éclectique qu’intéressante avec des personnalités qui ne semblent pas vraiment faites pour cohabiter, et encore moins s’entraider… C’est d’ailleurs là la grande force du roman, nous donner le sentiment que si le principal danger vient de l’extérieur, l’intérieur n’est pas non plus très sûr. Jusqu’où des personnes qui ne se connaissent pas et dont les intérêts entrent parfois en collision peuvent-elles coopérer et se faire confiance ?
L’auteur a su me surprendre notamment avec une révélation que je n’avais pas le moins du monde anticipée, et qui prouve que les apparences sont parfois trompeuses et que certains sont prêts à tout pour leurs idéaux et leurs convictions. Mais il a surtout réussi à me tenir en haleine et, au même titre que ses protagonistes, captive de cette auberge dont les murs semblent se rétrécir à mesure que les minutes s’égrènent. Entre les attaques extérieures, l’organisation de la défense, les méfiances et les tensions sous-jacentes, l’atmosphère s’électrise… On en vient sérieusement à se demander si quelqu’un va arriver à se sortir vivant de cette situation qui est de plus en plus délicate, voire désespérée pour les moins optimistes ou les plus réalistes !
Complètement happée par ma lecture et quelque peu tendue à l’idée de voir disparaître mes personnages chouchous, j’ai lu le roman d’une traite, d’autant que la plume de l’auteur se révèle toujours aussi cinématographique et rythmée. Après une première partie plus introductive, nous permettant notamment de saisir les enjeux géopolitiques de la région et de faire connaissance avec les personnages, tout s’enchaîne rapidement. Pris par les événements, on ne perd pas de temps à comprendre pourquoi, mais on se focalise sur le comment. Comment survivre ? Une question qui guide l’humanité depuis ses débuts et qui prend ici tout son sens, certains se révélant d’ailleurs plus doués que d’autres à cet exercice.
Ce n’est qu’au fil des pages et des révélations qu’on réalise que les choses sont bien plus complexes qu’on pourrait le croire. À travers cette histoire suscitant un réel dilemme moral, on interroge la notion d’intérêt général, et la manière dont on est parfois contraint d’utiliser les moyens du mal au nom du bien. Pour ma part, je n’ai pas approuvé les méthodes, même une guerre devant avoir ses limites, mais j’en ai compris les motivations. Le roman, principalement d’action, se part, en outre, d’une dimension psychologique liée à la notion de groupe, de son émergence dans un contexte particulier et autour d’un objectif commun, à sa dynamique de fonctionnement, en passant par sa dissolution.
La psychologique individuelle des personnages est, quant à elle, plus superficielle, ce qui n’est pas gênant en soi, l’auteur nous donnant assez d’informations sur ces derniers pour avoir envie de les suivre, et de tenter d’anticiper leurs mouvements. J’ai également apprécié d’assister à l’évolution des relations entre les différents membres de ce collectif formé en raison de circonstances bien particulières. Si certains personnages se connaissent déjà et s’apprécient plus ou moins, d’autres doivent se contenter de se faire rapidement une opinion sur leurs camarades de galère. Et on verra qu’il est parfois dangereux de se laisser guider seulement par son instinct ou les apparences.
Les personnages sont relativement nombreux, mais assez différents les uns des autres pour les retenir sans trop d’efforts. L’auteur a néanmoins pensé à proposer en fin d’ouvrage, une mini-biographie de chacun d’entre eux avec quelques informations ciblées permettant d’un peu mieux les comprendre. Je ne me suis pas attachée de manière viscérale aux personnages, ce qui est plus prudent vu comme ils ont tendance à ne pas faire long feu, mais j’ai développé mes préférences. J’ai ainsi beaucoup apprécié Logan, un chasseur de primes, qui est d’une honnêteté à toute épreuve, et qui possède une vraie éthique, tout comme Ethan, un archer qui jouera un rôle certain dans l’intrigue. Plus difficile à apprécier, car peu amène, Cassandra m’a néanmoins intriguée, car on devine chez elle un potentiel d’évolution certain, a fortiori après avoir perdu son seul repère…
En conclusion, Les rôdeurs de l’Empire marque les premiers pas de Guy-Roger Duvert dans le domaine de l’heroic fantasy. Une incursion parfaitement maîtrisée, l’auteur nous proposant une intrigue sans temps mort où la guerre n’attendra pas d’être déclarée pour se révéler mortelle. La menace gronde et la survie devient le principal objectif d’un groupe de personnes évoluant en marge de la société, des personnes qui vont devoir coopérer pour espérer se sortir vivantes d’une situation désespérée. Un huis clos dans un univers de fantasy aux enjeux géopolitiques forts dans lequel les alliés d’hier peuvent devenir les ennemis d’aujourd’hui ! Tension, action et trahisons au programme d’une histoire où les contours de la morale s’estompent que ce soit au nom du bien commun ou des petits intérêts de chacun.
Science-fiction sous toutes ses formes (anticipation, planet-opera, cyberpunk …), fantastique, polar et désormais heroïc fantasy : il semblerait que Guy-Roger Duvert soit bien parti pour explorer (et exceller dans) tous les genres les uns après les autres, pour le plus grand bonheur des lecteurs les plus éclectiques ! Mais sa marque de fabrique, sa signature littéraire, reste toujours la même : un style subtilement cinématographique mêlé d’un gout fort prononcé pour l’action, le suspense, le mystère. Il sait happer son lecteur, le tenir en haleine, mais aussi le mener par le bout du nez, le surprendre … et parfois même le frustrer : sa véritable spécialité, c’est bel et bien le page-turner ! Haletants au possible, ses récits font indiscutablement partis de ceux qui se dévorent d’une traite sans que l’on ne s’en rende compte : on a le sentiment qu’on vient à peine de commencer à lire que l’épilogue est déjà là … la plupart du temps avec un cliffhanger bien marqué, sinon ce n’est pas drôle ! Et le plus dingue, finalement, c’est que ça marche à tous les coups : loin de se lasser, quand bien même les schémas narratifs sont suffisamment similaires pour être prévisibles, on se laisse à chaque fois prendre au jeu, et on en redemande encore et toujours plus ! Peut-être justement parce qu’on sait à quoi nous attendre : à des romans follement palpitants qui nous font passer à tous les coups un incroyable moment de lecture !
Tandis que la guerre entre l’Empire et le petit royaume de Derenos menace d’éclater à tout instant, le Capitaine Jorekin et quelques-uns de ses soldats, parmi lesquels Roeken, sont chargés d’escorter le prisonnier Fendir jusqu’à la capitale. Chasseur de primes à la solde de l’Empire, Logan se voit contraint de retourner à Derenos pour poursuivre sa cible, le terrible Buckley, en route pour la capitale. Voleurs réputés, Revan et sa petite protégée Cassandra se sont aventurés au fin fond de la province de Derenos pour y récupérer la relique convoitée par leur client. Tobias et Trevor, mercenaires de leur état, ont acceptés d’escorter quelques marchands de passage à Derenos. Tous ont décidé de faire halte dans une paisible petite auberge nichée au cœur de la forêt avant de reprendre le cours de leur existence … Mais voici que l’établissement est subitement attaqué par des hommes vêtus de noir : en l’espace de quelques instants, la plupart des clients sont froidement assassinés, et ceux qui tentent de s’enfuir sont méthodiquement abattus. Ayant survécu à ce premier assaut, nos guerriers, mercenaires et petits bandits se retranchent dans l’auberge encerclée. Ils le savent, pour venir à bout de ce siège, ils vont devoir faire fi de leurs différences et unir toutes leurs forces … Mais difficile de se faire mutuellement confiance sans savoir pourquoi cette petite auberge a été prise pour cible. Etaient-ils là au mauvais endroit au mauvais moment, où l’un d’entre eux est-il la cause de ce carnage ?
La fantasy, genre codifié par excellence, peine à se renouveler : même en essayant coute que coute de se démarquer, la plupart des auteurs restent sagement dans les chemins battus … Mais Guy-Roger Duvert, lui, n’hésite pas à faire du hors-piste : les codes du genre, c’est bien, mais un peu d’audace, c’est encore mieux. Et c’est ainsi que, loin de nous présenter un futur petit héros bien comme il faut, qui portera avec honneur et vaillance le poids de la Grande Quête Salvatrice, il nous invite à faire la connaissance de ceux que les héros-bien-comme-il-faut évitent comme la peste. Les mercenaires, les pillards, les chasseurs de prime, les simples soldats. Ceux qui ont du sang plein les mains, et rarement pour servir de Nobles Causes Héroïques. Ceux qui ne se préoccupent que de leur propre survie et existence, même si c’est au détriment de celles des autres. Ceux qui n’hésitent pas à travailler avec les pires crapules si le butin est plus aguicheur que celui proposé par les autorités. Ceux qui font le sale boulot à la place de ceux qui se veulent honorables et respectables. Tout, sauf des héros de fantasy, en somme. Ce parti pris est risqué : même avec toute la bonne volonté du monde, le lecteur aura assurément plus de mal à s’attacher à un mercenaire sanguinaire ou à une voleuse sans foi ni loi qu’à un brave petit orphelin au grand cœur. Mais ce pari est selon moi gagnant : c’est tellement différent de tout ce qu’on a l’habitude de voir que notre curiosité est autrement plus attisée que si nous avions rencontré un énième petit héros bien comme il faut !
On s’en doute : il n’y aura donc pas non plus de Grande Quête Epique. Nos différents protagonistes ne sont pas amenés à former une Compagnie destinée à sauver le monde des Ténèbres. Ils ne se connaissaient pas et n’avaient nullement l’intention de se connaitre : ils venaient seulement se reposer et se sustenter un peu avant de reprendre leurs plus ou moins sinistres magouilles. Mais la fatalité en a décidé autrement : bien mieux armés (littéralement et mentalement) pour survivre à cette attaque fulgurante, les voici tous enfermés dans cette auberge remplie de cadavres et cernée d’assassins bien organisés et visiblement très déterminés à ne laisser aucun survivant. Désormais, ils n’ont plus le choix : ils savent tous parfaitement que le seul moyen pour chacun d’eux de s’en sortir, c’est de travailler en équipe. Les réticences sont nombreuses : le droit capitaine peine à accepter de se fier à un chasseur de primes, et le mercenaire est le premier à se méfier de la voleuse. Sans oublier le prisonnier et le criminel avéré : faut-il suivre la voie de la raison et les enfermer à la cave et perdre deux paires de bras, ou faut-il prendre le risque de les intégrer au groupe ? Sans oublier la question qui empoisonne chaque esprit mais que nul n’ose poser à haute voix : l’attaque est-elle dirigée spécifiquement contre l’un d’entre eux, et livrer cet individu permettrait-il à tous les autres de survivre à ce massacre ? Individualistes convaincus, aucun d’eux n’hésiterait une seule seconde avant d’abandonner celui ou celle qui les a mis dans cette fâcheuse situation …
Autant vous dire que l’auberge ressemble à une grenade dégoupillée qu’un simple choc suffirait à faire exploser : la tension ne fait que monter, au fur et à mesure que les assauts s’enchainent, que les issues se bloquent, que le siège s’éternise. Ils le savent tous pertinemment bien : plus ils laisseront le temps à leurs assaillants de s’organiser, plus la prochaine offensive risquera d’être la dernière. Les blessures s’accumulent, la fatigue également. Il faut trouver une solution, et vite. Au bout d’un moment, il faut bien l’admettre, on commence à se dire, nous aussi, qu’il faut en finir, qu’il faut passer à autre chose : ce qu’on veut, c’est comprendre le fin mot de l’histoire. Savoir, enfin, pourquoi cette auberge précise a été attaquée à ce moment précis, ce qui motive les assaillants. Car on s’en doute, c’est derrière cette raison que se cache le véritable enjeu de l’histoire. Histoire qui tarde donc à se mettre en place, tout cet opus ne constituant finalement qu’une longue, très longue exposition, très longue introduction : ancrer posément le contexte, c’est toujours une bonne chose, mais sur le coup, Guy-Roger Duvert a peut-être péché par excès de zèle ! D’autant plus qu’au final, on peine encore à comprendre véritablement quelles sont les implications de toute cette affaire sur le plan politique : on a saisi qu’une guerre était imminente, mais pour le reste, tout reste particulièrement confus. Peut-être qu’un peu moins d’action et un peu plus d’explications n’aurait pas été inutile …
En bref, vous l’aurez bien compris, ce fut globalement une bonne lecture, riche en rebondissements et en suspense, mais je reste tout de même un tantinet sur ma faim. Disons que c’est un premier tome trop introductif : tout au plus, nous avons commencé à faire la connaissance des différents protagonistes (et encore, ils sont nombreux et se ressemblent suffisamment pour qu’on continue à se mélanger les crayons, même si certains quittent l’équation en cours de route) et à saisir quelques bribes du contexte politique, mais nous avons encore bien du mal à comprendre où est l’intrigue, où est l’histoire. Ça manque en quelque sorte de profondeur, de consistance : on nous tient en haleine, ça s’est sûr, car même si ce sont pour la plupart de sombres crapules, on ne peut s’empêcher d’espérer qu’ils se sortiront vivants de ce guêpier, car on pressent tout de même qu’ils ont joué de malchance en se trouvant au mauvais endroit, au mauvais moment, et on se dit que c’est tout de même fort injuste de perdre la vie pour avoir choisi de s’arrêter à telle auberge tel jour … mais on en attendait tout de même plus. Mais connaissant Guy-Roger Duvert, il ne fait aucun doute que les choses sérieuses vont très bientôt commencer : bien contre leur gré, nos rôdeurs détiennent désormais quelque chose de très dangereux et de très convoités … et toute la question est désormais de savoir ce qu’ils vont les uns et les autres décider d’en faire. Et quelque chose me dit qu’ils n’ont pas fini de subir les conséquences de ce qui aurait dû être un simple repas !
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