"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
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Quel livre ! Plutôt orienté vers le thriller (cette fois) et moins sur les chapeaux de roue que le précédent ("La nuit des vampires"), "La métamorphose de Léonard" est captivant dans son ensemble, sa lecture est nette et toujours aussi fluide. Un moment fort agréable qui vous tient autant en haleine que tous les autres romans d'Adrien Balboa. J'ai adoré.
Je ne vais pas être très originale par rapport aux premiers avis laissés sur d'autres sites. Vu la manière dont s’achevait « La nuit des vampires », le contenu de ce 4ème tome semblait facile à deviner. Or, en découvrant le préambule et les 2 premiers chapitres, les lecteurs de sa saga ne peuvent que se demander sur quoi ils sont tombés. C’est seulement au 3ème chapitre que l’histoire que nous connaissons reprend véritablement et Adrien Balboa y balaie d'un revers de main (avec malice ?) toutes nos prévisions.
Sur de nombreux points, « La métamorphose de Léonard » se rapproche assez des 2 premiers, surtout au « Fou prend la Tour » pour son rythme. Assurément le plus déroutant de sa saga, mais également un roman minutieux (autant que le précédent, si ce n'est plus), mélancolique et assez désespéré.
Il s'agit là de son septième livre, je suis cet auteur depuis bientôt 5 ans et il devient au fil des publications un de mes préférés.
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