80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
«1958. À la bouche de la station de métro Rue de la Pompe se réunissent, deux fois par jour, les Espagnoles qui font la loi dans le quartier. Aux heures les plus chaudes, elles sont une centaine sur le trottoir. Et moi, je suis là, au milieu de ces cercles, de ces infinis conciliabules, de ces calculs invraisemblables et de quelques confidences pas piquées des hannetons. Je me saoule à Bilbao, à Salamanque, à Madrid. Comme je ne peux tout traduire en même temps, chef d'orchestre au milieu de la mêlée, souvent, je bats la mesure. Je jongle avec les plus beaux soleils d'Espagne.» Le jeune Sacha, fils et petit-fils d'agent de change à Paris, est devenu le confident d'une tribu de bonnes espagnoles qu'il place chez les uns et les autres. Parmi elles, la mystérieuse et très belle Pepita hante son coeur et son esprit. Il parcourt avec elle la ville, l'emmène pour la séduire chez la grande comédienne Bella d'Artois, il va en secret chercher des recettes de bonheur chez un diplomate japonais et se sert de toutes les clefs que lui offrent les femmes du métro Pompe pour parvenir à ses fins : l'amour éternel.
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