80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Quand les eaux de leur rivière étaient suffisamment grosses pour charrier, de Spontour à Libourne en passant par Argentat, toutes les richesses des pays riverains : bois fendus pour faire tonneaux ou piquets de vigne, cuir, châtaignes, fromages, charbon..., quand donc on les jugeait « marchandes », alors les bateliers s'élançaient dans le flot tumultueux de la Dordogne, sur leurs embarcations solides mais éphémères, bravant malpas et rochers pour gagner leur vie. C'est ce que nous explique l'historien Frédéric Pesteil.
C'est ce que nous raconte aussi, dans son fabuleux « Voyage à l'époque de la navigation sur la Haute Dordogne » vers 1900, l'un des derniers gabariers du pays, Jean-Baptiste Blaudy.
Mais c'est également ce que nous révèlent les illustrations délicates, précises et lumineuses d'Antoine Quaresma.
Confrontant nouveaux documents d'archives, manuscrit inédit, clichés anciens, images, ces Eaux marchandes vous feront revivre et comprendre la fantastique épopée des valeureux gabariers de jadis.
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