Les Amours jaunes (grands caractères)

• Date de parution : 13/11/2015
• Editeur : Ligaran
• EAN : 9782335021127
• Série : (-)
• Support : Papier

• Nombre de pages : 284
• Collection : (-)
• Genre : Poésie Théâtre
• Thème : Poésie grand format
• Prix littéraire(s) : (-)

Les Amours jaunes (grands caractères) de Tristan Corbière est un recueil de poèmes empreints de mélancolie et de passion. Publié pour la première fois en 1873, cet ouvrage est considéré comme l'un des chefs-d'oeuvre de la poésie symboliste.



Tristan Corbière, poète maudit et incompris de son... Voir plus

Les Amours jaunes (grands caractères) de Tristan Corbière est un recueil de poèmes empreints de mélancolie et de passion. Publié pour la première fois en 1873, cet ouvrage est considéré comme l'un des chefs-d'oeuvre de la poésie symboliste.



Tristan Corbière, poète maudit et incompris de son vivant, nous plonge dans un univers sombre et tourmenté où l'amour se mêle à la souffrance. À travers ses vers, il exprime sa vision désenchantée de la vie et explore les méandres de l'âme humaine.



Les Amours jaunes est un recueil qui se distingue par son style unique et audacieux. Corbière utilise des images fortes et des métaphores saisissantes pour dépeindre les émotions les plus intenses. Ses poèmes, empreints d'une profonde musicalité, nous transportent dans un monde où la beauté se mêle à la tristesse.



Ce livre, édité en grands caractères, permet une lecture aisée et accessible à tous. Il offre ainsi la possibilité de découvrir ou redécouvrir l'oeuvre de Tristan Corbière, poète trop souvent méconnu du grand public.



Les Amours jaunes (grands caractères) est un recueil de poèmes qui ne laisse pas indifférent. Il nous plonge dans un univers poétique d'une rare intensité, où les sentiments les plus profonds s'expriment avec une sincérité bouleversante. Une lecture incontournable pour tous les amateurs de poésie et les amoureux des mots.







Impression en « gros caractères ».

Extrait : "Mannequin idéal, tête-de-turc du leurre, Eternel Féminin !... repasse tes fichus ; Et viens sur mes genoux, quand je marquerai l'heure, Me montrer comme on fait chez vous, anges déchus. Sois pire, et fais pour nous la joie à la malheure, Piaffe d'un pied léger dans les sentiers ardus. Damne-toi, pure idole ! et ris ! et chante ! et pleure, Amante ! Et meurs d'amour !... à nos moments perdus."