Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
" Le village n'a point de rues. Des chemins aboutissent à la route qui le traverse, quand il n'est pas situé au beau milieu des champs ou sur la lisière d'un bois. On y use plus de sabots que de bottines. On y mange plus de légumes que de viande. On y boit plus d'eau que de vin. " Ce village, c'est les Vernes. Aux Vernes, point d'auberge, de boutique, d'école ou même de clocher ; seulement une poignée de maisons et de fermes jetées au milieu des champs, et où vivent quelques familles. Il y a les Vincent ; le père, un type bien qui accepte l'attirance de ses fils pour la grande ville ; sa seule ambition à Vincent, c'est d'économiser assez pour pouvoir acheter le pré de Bourgadier, une assurance pour ses vieux jours. Il y a aussi Colinot : il habite dans une cabane délabrée avec toute sa famille, qu'il nourrit par le braconnage et quelques larcins. Il y a Rond, un brave homme, qui est devenu alcoolique... Il y a encore les Blandin, puis les Galreux. Le roman nous fait découvrir l'intimité de ces familles et nous dévoile la vie paysanne des années 1890 et 1900. Le témoignage d'une époque, avant la grande guerre, quand nos campagnes voyaient se densifier le chemin de fer et arriver les toutes premières moissonneuses mécaniques.
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