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Le roman d'un jeune homme pauvre

Couverture du livre « Le roman d'un jeune homme pauvre » de Octave Feuillet et Ligaran aux éditions Ligaran
  • Date de parution :
  • Editeur : Ligaran
  • EAN : 9782335040937
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Le roman d'un jeune homme pauvre est un classique de la littérature française écrit par Octave Feuillet. Publié pour la première fois en 1858, ce roman raconte l'histoire de Raoul, un jeune homme issu d'une famille modeste qui rêve de réussir dans la société parisienne du XIXe siècle.



Raoul... Voir plus

Le roman d'un jeune homme pauvre est un classique de la littérature française écrit par Octave Feuillet. Publié pour la première fois en 1858, ce roman raconte l'histoire de Raoul, un jeune homme issu d'une famille modeste qui rêve de réussir dans la société parisienne du XIXe siècle.



Raoul quitte sa province natale pour tenter sa chance à Paris, où il espère trouver la fortune et la gloire. Mais la réalité est bien différente de ses rêves, et il se retrouve confronté à la dureté de la vie dans la capitale. Entre les difficultés financières, les amours contrariées et les trahisons, Raoul devra faire preuve de courage et de détermination pour surmonter les obstacles qui se dressent sur son chemin.



Le roman d'un jeune homme pauvre est un récit poignant qui aborde des thèmes universels tels que l'ambition, l'amour, l'amitié et la lutte contre l'adversité. Octave Feuillet y dresse le portrait d'un héros attachant, confronté aux tourments de la vie et en quête de son propre destin.



Ce livre, empreint de réalisme et de sensibilité, offre une plongée fascinante dans le Paris du XIXe siècle et dans l'âme tourmentée de son protagoniste. Le roman d'un jeune homme pauvre est un incontournable de la littérature française, qui continue de toucher les lecteurs par sa profondeur et son humanité.



Extrait : "Voici la seconde soirée que je passe dans cette misérable chambre à regarder d'un oeil morne mon foyer vide, écoutant stupidement les murmures et les roulements monotones de la rue, et me sentant, au milieu de cette grande ville, plus seul, plus abandonné et plus voisin du désespoir que le naufragé qui grelotte en plein Océan sur sa planche brisée."

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