La vie d'Henri Tisot a été bouleversée par sa rencontre avec un mystérieux personnage, le père Albert, gardien du musée du Louvre et que les religieuses de la Médaille Miraculeuse de la rue du Bac hébergeaient.
Après sa disparition, une cassette fut remise à Henri Tisot par les religieuses. Elle contenait le message spirituel du père Albert, son héritage qu'Henri Tisot nous transmet : il s'agit de conclusions exégétiques étonnantes et originales qui auraient dû sauter aux yeux de l'Eglise si elle avait été plus attentive aux traces hébraïques des Textes sacrés. Le philosophe Paul Ricoeur y invite : " Nous n'avons aucune autre espèce d'accès au passé que des traces.
Il faut retrouver derrière ces traces la mémoire de ceux qui ont laissé ces inscriptions pour lutter contre l'érosion du temps en préservant ces traces. C'est ça la fidélité fondamentale d'une mémoire qui est l'exactitude." Et c'est ce cheminement dans les Textes au gré des traces hébraïques et judaïques du Premier comme du Nouveau Testament qui constitue aux yeux de l'auteur de ce livre : Le rendez-vous d'amour.
La traçabilité, maître-mot de notre époque, est réclamée en vue de se prémunir de tout empoisonnement alimentaire. Pour ne pas s'intoxiquer spirituellement doit-on appliquer la traçabilité au domaine du spirituel ? De la vache folle au veau d'or n'y aurait-il qu'un pas ? Henri Tisot s'est fait pour nous chasseur de traces et célèbre ainsi à l'occasion du Jubilé de l'an 2000 la jubilation des Ecritures retrouvées et de son Maître Jésus.
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