Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
La comparaison diachronique s'imposait pour mieux saisir, entre les XVe et XVIIIe siècles la stratégie de partage qui sous-tend l'élaboration des normes de police et leur application entre seigneurs, princes, villes et État au profit d'une concentration royale. Du Moyen Age et l'époque moderne, le présent ouvrage permet de souligner la continuité des problèmes posés par la police, en la saisissant, d'une part, dans une phase décisive de mise en place d'un État - phase où les princes se sont trouvés dans la nécessité de poser de nouvelles normes - et en l'appréhendant, d'autre part, au moment où se désagrège la monarchie. Il leur a semblé commode d'envisager comme espace politique celui du royaume de France et de ses proches voisins de même langue vernaculaire. Le XVIIIe siècle et les Cours souveraines constituent un observatoire privilégié pour apprécier cette mutation. La complexité de la notion de police, tant du fait de la polysémie du terme que de la polyvalence de la fonction policière, est ici abordée à travers une confrontation entre une histoire juridique. une histoire sociale, et la philosophie dont on présente ici les actes.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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