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L'un, Claude Legrand, poétise avec des couleurs et des pinceaux, l'autre, Jacques Viallebesset, avec des mots et une plume, mais les deux sont poètes puisque chacun donne à voir le réel sous une autre de ses faces que celle que l'on voit communément. D'abord, il y a, sous le regard de chacun, ces paysages de « grand air », cet air tout bleu, qui passe avec les caravanes de nuages poussés par le vent, ces longues prairies herbeuses, l'eau qui bruisse dans l'herbe et ces arbres qui écrivent une calligraphie inconnue dans le ciel : ce sont les hauts plateaux du Cézallier. Puis leur regard, qui dialogue, se pose ; il transmute, par l'alchimie créatrice, le réel... Nous entrons alors dans le pays de l'imaginaire, ce « pays où l'on n'arrive jamais » parce que nous le portons en nous. Peut alors se lever Le plain-chant des hautes terres.
Claude Legrand, est diplômé de l'école des Beaux-Arts en juin 1988, Prix Espoir des Volcans en 1997, décerné par le Conseil Général du Puy de Dôme ; il partage son temps entre son atelier clermontois et celui de Saint-Bonnet de Condat dans le Cantal. Nombre de ses tableaux sont présents dans des collections privées du monde.
Jacques Viallebesset réside en Auvergne après 45 ans de vie parisienne. le philosophe Robert Misrahi a écrit de son travail : En mettant en oeuvre le double mouvement de l'intelligence et du désir Jacques Viallebesset réalise en une forme totalement singulière la tâche profonde de la poésie elle-même changer la vie en l'ouvrant à la joie.
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