80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
L'entrée dans le XXIesiècle a consacré une révolution de notre modèle économique: le passage d'une économie de masse à une économie dictée par la demande. Une soif de consommation effrénée et immédiate de produits personnalisés, fabriqués à la demande, s'est généralisée.
Une nouvelle ère où le consommateur, devenu roi, impose aux entreprises de se réorganiser pour devenir plus agiles, et ce au détriment des travailleurs. Une société de surabondance, caractérisée par le gaspillage des ressources, une hausse des inégalités, et une course folle vers le «toujours plus».
Mais la crise du Covid-19 a exacerbé le fait que notre dogme productiviste, fondé sur quatre logiques - extraire, produire, consommer, jeter - ne pouvait plus durer.
Comment changer durablement nos comportements d'acheteurs impulsifs? Comment repenser notre système capitaliste pour qu'il devienne plus inclusif et équitable, et que chacun trouve sa part et sa juste place? Quel rôle tient l'État dans ce nouveau paradigme, notamment en ce qui concerne la refonte de nos systèmes de protection sociale?
Face à ces problématiques, Denis Pennel prône la nécessité de nouer un nouveau contrat social: consommer moins mais mieux, recréer du lien et du dialogue entre les citoyens, combattre la marchandisation du travail, mettre en place un capitalisme au service de l'humain.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année