80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Thomas De Quincey est connu pour deux textes qui n'ont, en apparence, rien en commun : les Confessions d'un mangeur d'opium anglais, clé de voûte d'un récit autobiographique morcelé, ont longtemps été lues comme l'oeuvre d'un romantique mineur, dans l'ombre du poète William Wordsworth ; tandis que "L'assassinat, considéré comme l'un des Beaux-Arts" cultive la provocation et la fantaisie. Les deux cependant expriment toutes les nuances de l'ironie : De Quincey se confronte aux grands auteurs et proclame son statut d'écrivain mineur pour mieux le dépasser.Rassembler dans un même regard ces deux textes nous permet de rétablir la cohérence d'une oeuvre complexe et contradictoire, mais finalement unie, encore et toujours, autour du portrait de l'Anglais mangeur d'opium. Céline Lochot présente ici De Quincey comme mêlant l'ironie dans une démarche de séduction et de définition de soi dans le romantisme. Cette mise en contexte romantique de l'ironie, a priori plutôt paradoxale, enrichit considérablement le propos et souligne la modernité de De Quincey.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année