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Le butô ou « danse des ténèbres » est une forme qui émerge au Japon à la fi n des années 1950.
On considère que la création de Kinjiki (Les Amours interdites) de Tatsumi Hijikata en 1959 en est le point de départ. Exporté dans le monde entier, sous de multiples formes, il donne à voir un corps en crise qui déjoue les normes, entre lenteur, expressivité, crudité et grotesque. C'est une danse souvent visible sur les scènes françaises (Carlotta Ikeda, Sankai Juku...) mais dont l'histoire reste méconnue. La fascination des critiques et du public pour le butô en France est ici racontée, depuis le choc de sa découverte à la fi n des années 1970 jusqu'à nos jours. Cette fascination, non dénuée de malentendus, a suscité de nombreux désirs d'ailleurs et de Japon, qui ont travaillé la danse contemporaine alors en pleine effervescence. Quels désirs esthétiques le butô est-il venu combler ? Qu'a-t-il déplacé et déstabilisé dans la création contemporaine ?
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