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Le plus souvent considéré comme une forme d'art secondaire, un pâle écho de la perfection grecque - qui fut effectivement sa référence constante -, l'art romain a longtemps été l'objet d'un préjugé défavorable.
Art "bourgeois", reflet d'une société prosaïque, il aurait manqué de cette légèreté nécessaire à l'accomplissement de tout grand art. dans son ouvrage devenu classique, sir mortimer wheeler montre pourtant quelle fut la logique profonde de cette culture, son originalité, sa réussite et combien l'art romain oscilla entre la perpétuation d'un académisme achevé, la répétition des formes parfaites, héritées de l'art hellénistique, et l'invention d'un langage nouveau, plus rudimentaire en apparence.
S'attachant au cours de son enquête à analyser l'art du portrait comme celui de la mosaïque, de la peinture à fresque comme de la nature morte, mortimer wheeler cherche avant tout à démontrer que l'art romain s'organisa autour d'une vision totalement nouvelle de l'architecture, du décor intérieur et d'un urbanisme précurseur de celui de la ville moderne.
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