80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
L'écriture de Michel Baglin s'articule en séquences de longs vers ou versets, à l'ampleur musicale peu habituelle. C'est d'un parcours personnel qu'il s'agit : « Au seuil de l'enfance, j'hésite à rendre grâce. » Le poète nous parle de l'école, de la douceur des nids, des « goûters écrasés au fond des cartables ». Mais il nous parle aussi des femmes, des solitaires et des vivants « qui ne perdent pas pied ».
On pourrait définir cet ensemble harmonieux comme un chant d'action de grâces, dont le ton élégiaque est assez rare dans la poésie d'aujourd'hui.
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