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Des photographies du fonds personnel de Denis Seznec racontent l'affaire en images et constituent un témoignage de premier plan sur le bagne.
Guillaume Seznec a été condamné aux travaux forcés à perpétuité le 4 novembre 1924 pour un crime sans cadavre, sans arme et sans aveu. Aux yeux des Français, il est devenu, tout comme Dreyfus, le symbole de l'erreur judiciaire. Il a aussi survécu au bagne, dont il fut l'un des rares à revenir - après vingt ans. Comme Dreyfus encore, ou Papillon, son nom est associé à ce qui restera une tache indélébile dans la mémoire du pays des droits de l'homme.
Denis Seznec a fait de la réhabilitation de son grand-père le combat de sa vie. À ce titre, il a grandement contribué à ce que la Justice française reconnaisse ses erreurs. Déjà l'auteur de deux livres qui ont touché et continuent de toucher un très vaste public, il publie aujourd'hui un album réunissant des photographies issues d'archives familiales, mais surtout des clichés absolument uniques récoltés au cours d'années d'enquêtes en France comme en Guyane. Non seulement cet ouvrage retrace l'une des plus extraordinaires affaires criminelles du XXe siècle et raconte la vie d'un homme broyé par une justice aveugle avec la force des images, mais il constitue un témoignage inégalable sur l'enfer du bagne et les conditions de vie des forçats.
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