"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
4 janvier 2011 : décès de Mohamed Bouazizi, le jeune homme qui s'est immolé par le feu à Sidi Bouzid.
14 janvier 2011 : fuite du président Ben Ali, et fin d'un régime autoritaire de 23 ans.
Dès le 6 janvier, Olivier Piot, grand reporter, est sur place. Il y restera durant toute la durée des événements. Nous suivons avec lui cette révolution en marche, au fil de ses discussions avec de nombreux témoins, de son émouvante rencontre avec la famille du jeune Bouazizi, des incroyables mouvements de rue, de ses démêlés avec des policiers qui cherchent en vain la carte mémoire de son appareil photo, dissimulée dans son col.
Au fil de ce reportage très vivant, nourri d'explications sur les ressorts de la révolte, apparaît une révolution avant tout populaire, née de la colère de marchands et de mineurs contraints à une précarité grandissante. Une colère qui, on le voit actuellement, ne cesse d'essaimer sous des formes différentes dans l'ensemble du monde arabe.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !