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« Kieran Wall ou l'étrangeté de l'espèce La Prison de l'espèce. Cet étrange syntagme nominal qui ouvre ce nouveau recueil de Kieran Wall est à la fois la perspective d'une vérité questionnée et une embarcation surpeuplée vers un lointain, vers un fatalisme cru. Pleine d'un verbe dérangeant, d'une « voix rauque » qui naît de sa propre « abjection », cette prison de l'espèce est un saut dans l'abîme irréfragablement matériel de la vie moderne. C'est une asphyxie, une mélancolie calculée ; une danse et un rythme dérangeants qui enchantent et qui effraient. Kieran manipule un verbe impitoyablement vrai, étrange, une toile qui configure assonance et chute, silence et marche. Dans la forme et dans l'Idée de l'Homme, l'espace de cette prison est, ainsi, une marche solitaire, l'horizon d'une présence en crise, le corps de "nos esprits versés dans l'abîme", et, pour cette raison, l'expression même d'une douleur perpétuelle. » (Márcia Marques-Rambourg)
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