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La mort est un art.
Vous en êtes le spectateur.
Et vous pourriez être sa prochaine victime.
Des sous-sols de Paris aux recoins obscurs des facultés de médecine, Chris Kovac, médecin urgentiste, se lance à corps perdu dans une enquête qui ressemble à une nuit sans fin.
Après Le Jour du chien, Prix polar 2017, Patrick Bauwen signe un thriller aussi effroyable que maitrisé.
Avec « La nuit de l’Ogre », second opus après « Le jour du Chien », Patrick Bauwen nous fait pénétrer dans le monde très secret de la fac de médecine avec ses rites et ses confréries.
Ce roman est fortement axé sur le personnage sombre et déphasé de Chris Kovak, qui, pour résoudre cette nouvelle intrigue, va devoir replonger dans son passé qui est à l’origine de tout ce qui arrive autour de lui. A ces côtés nous allons descendre dans les sous-sols des facs et remonter de quelques années le fil de l’histoire de la médecine.
Donc, Chris Kovak , médecin urgentiste, après avoir perdu des personnes qui lui étaient chères, se donne à fond dans son travail, ainsi dans sa vie sociale. Aussi quand il veut aider Greta Van Grenn, la surveillante de son service, il va mettre le doigt dans un engrenage qui va l’entrainer beaucoup plus loin qu’il ne l’aurait voulu. Il va se rendre compte qu’il y a beaucoup de secrets et de personnes peu recommandables autour de lui et que tout cela est lié à son propre passé.
Dans ce livre comme dans « Le jour du Chien », il y a une intrigue qui sera résolue par Chris Kovak et une intrigue de fond, commencée dans le premier opus, qui continue à se développer au fil des livres suivants. « La nuit de l’Ogre » nous dévoile le passé de ce sombre personnage, tueur psychopathe et sans pitié, découvert dans « Le jour du Chien ».
Ce nouvel opus peut être lu indépendamment des autres mais il est toutefois préférable, afin de garder un peu de suspense, de ne pas faire comme moi et de respecter l’ordre de sortie des livres, à savoir « Le jour du Chien » « La nuit de l’Ogre » et « L’heure du diable ».
Après Le jour du chien, place à La nuit de l'ogre !
J'essaie d'alterner le style de mes lectures audio, passer d'une lecture plutôt posée à une lecture "d'action", si l'on peut dire.
Donc après Swing Time, place à la suite des aventures du Dr Chris Kovak, médecin urgentiste un poil poisseux.
Poisseux, il faut l'être pour qu'après avoir été mêlé à une sombre histoire de meurtres et avoir perdu sa femme de mort violente, on se retrouve à prendre en stop une étudiante qui s'enfuit en laissant une tête coupée dans la voiture...
Ca démarre fort, comme vous pouvez le constater. Et le reste est du même acabit, pas de temps mort, des rebondissements en pagaille, on est sur le même rythme que dans Le jour du chien.
Cette fois-ci, l'intrigue tourne autour des fraternités étudiantes et des photos mortuaires, de quoi installer une belle ambiance !
Alors bien sûr, on n'est pas dans l'hyperréalisme, quelques coïncidences peuvent paraitre un peu fortes mais ce n'est pas ce que je cherche ici, et je n'ai pas boudé mon plaisir.
Par contre, le bémol, c'est toujours le lecteur, qui est plus acteur que lecteur et met vraiment beaucoup trop d'intention à mon goût dans sa lecture, et qui susurre beaucoup trop et beaucoup trop souvent.
Mais ceci est vraiment très personnel comme ressenti alors je vous encourage à découvrir cette série. Je compte d'ailleurs lire ou écouter bientôt L'Heure du Diable, pour découvrir qui est Le Chien.
Second tome de la trilogie de Patrick Bauwen, inaugurée avec « Le jour du chien », « La nuit de l’ogre » est aussi dotée de très bonnes qualités, dont l’auteur Patrick Bauwen nous a habitué par ses différents thrillers.
Encore une fois, il a su me tenir en éveil et captivée par son histoire. On y retrouve les mêmes personnages principaux, le docteur Chris Novac et Audrey Valenti qui ont évolué depuis le premier tome, tout comme leur relation dans un Paris sombre avec ses souterrains, loin des clichés de la Ville-Lumière.
Beaucoup de suspens au fil des pages, une lecture addictive et surtout une intrigue finement et intelligemment ciselée. L’auteur parvient toujours à me surprendre, à me tenir en haleine jusqu’à la dernière page. Par des retournements de situation spectaculaires où mes neurones en ont pris un coup, j’ai été à nouveau éblouie par le final.
Il ne me reste plus qu’à découvrir le dernier opus, « L’heure du diable » mais quelque chose me dit que je ne vais pas être déçue
La suite de "le jour du chien" avec les mêmes personnages principaux, Chris Kovak et Batista.
Comme j'avais adoré le premier volume de la série, je me suis réjouie de retrouver les mêmes personnages qui m'ont entraînée dans une folle histoire et m'ont fait encore voyager. le tout avec un certain humour et un réel entrain.
Je ne sais pas si la fin suggère une suite mais ce sera avec plaisir :-).
Je ne peux que vous suggérer de vous laisser tenter par les livres de Patrick Bauwen puisque, jusqu'à présent, je les ai tous appréciés.
J’ai enchainé La nuit de l’ogre aussitôt après avoir terminé Le jour du chien. Et si le précédent livre a été un coup de cœur pour moi, j’ai juste eu l’impression de recevoir un uppercut en pleine face avec celui-ci.
Cette fois-ci on retrouve un Kovac plus sombre, meurtri qui essaie d’assurer comme il peut tant dans sa vie professionnelle que personnelle. Mais quand il croise le chemin d’une jeune fille accompagnée d’une tête dans un bocal… le peu d’équilibre qui le maintenait vole peu à peu en éclats. A partir de ce moment, ça ne s’arrête pas et on est pris dans un tourbillon de sentiments, d’actions, de réactions… jusqu’à la dernière page.
C’est sombre Voilà ce qui me vient en tête quand je repense à ce livre. En même temps lorsqu’est abordé le thème de la mort et de ses représentations il ne peut en être autrement. C’est sombre et oh putain combien humain. Humain au point d’en avoir les larmes aux yeux face à la douleur humaine… évidemment mon métier y est pour beaucoup aussi…
On suit donc Kovac dans une enquête qui le confrontera aux souvenirs de son passé. On en apprend plus sur lui et mine de rien on s’attache à ce côté tête brûlée meurtri qui parfois déconne…
J’ai avalé les pages, littéralement. Les mots me manquent pour décrire tout ce que j’ai ressenti, ce que je ressens encore, lors de ma lecture. J’ai vécu avec lui cette enquête mais aussi les à-côtés qui vont parfois l’ébranler plus que nécessaire. Et puis il y a l’équipe de Batista que l’on apprend à connaître un peu plus et c’est assez plaisant. Ce n’est pas juste des flics qui enquêtent… Non ce sont des flics qui ont leur histoire, leurs secrets…
C’est d’ailleurs ce que j’aime chez Patrick Bauwen. Je ne sais pas si c’est parce qu’il est médecin mais il insuffle une part d’humanité à La nuit de l’ogre. Au point que je n’en suis toujours pas ressortie indemne.
De par ses mots, il instaure une ambiance, un rythme qui reprend de plus belle à chaque fin de chapitre. A presque chaque chapitre, l’auteur nous livre des informations cruciales pour le reste de l’intrigue. Il nous tient en haleine et on se rend compte que l’on a gardé notre respiration jusqu’à la dernière page.
Encore une fois, le dénouement est attendu de par le fait que des indices, des indications sont laissés ici et là… Elle est attendue mais n’en reste pas moins cruelle de par les aspects qui sont évoqués et ce qui en ressort. J’avoue avoir pris un certain plaisir malsain à lire les dernières pages.
Concernant ces dernières pages d’ailleurs… mais pourquoi ? Où est la suite ? Je suis déjà en manque alors que je viens tout juste de le terminer…
En bref,
La nuit de l’ogre m’aura achevé par bien des aspects. Ici, se confirme le talent indéniable de l’auteur et de toutes ces émotions qu’il suscite dans 400 pages. C’est sombre, poignant, cruel et c’est aussi ce qui fait qu’on en redemande.
Encore un excellent thriller de Patrick Bauwen. "La nuit de l'orgre" contient tous les ingrédients pour donner au lecteur des sueurs froides et lui faire passer des nuits blanches: personnages torturés et pleins de secrets, atmosphère de film d'horreur, rebondissements nombreux et deux tueurs qui font frémir... J'ai pris plaisir à retrouver les personnages du "jour du chien" et ai hâte de lire la suite.
Atmosphère de film d'horreur, scènes angoissantes se déroulant la nuit, froid, hallucinations, peurs....Voilà un micro résumé de ce qui vous attends si vous osez tourner les pages du dernier thriller de Patrick Bauwen.
J'avoue que depuis son précédent livre, "le jour du chien", l'auteur a su capter mon attention . Il faut dire qu'il ne s'aventure pas au hasard dans les méandres de la noirceur humaine. Tout d'abord il est médecin urgentiste, ça aide, et il s'est extrêmement bien documenté.
Nous retrouvons donc " le chien" mais aussi le Dr Kovak, plus acharné que jamais dans sa quête de la vérité, et tout prés de la rupture psychologique, Audrey Valenti, non plus juge mais flic et l'unité d'élite chargée des crimes dans les sous sol parisien.
Mais le personnage principal de ce thriller angoissant est une ombre, aperçue par certains depuis de nombreuses années, une légende urbaine qui prends vie au fil des pages, une ombre au costume sombre coiffée d'un chapeau melon. Cette ombre qui hante le chien depuis des années.
Disparitions, morts étranges, photos lugubres, et chasse à l'homme. Tout est réuni pour faire flipper le lecteur, et ça fonctionne plutôt bien.
Sombre, imprévisible, mais parfois incohérent. Déjà je n'ai pas partagé l'enthousiasme généré par le jour du chien. Bon thriller mais sans plus. La nuit de l'ogre est dans la même lignée, mais les imperfections se sont accentuées dans cet opus. Tout d'abord, l'auteur ne nous donne pas tous les éléments nécessaires pour solutionner l'énigme, défaut fréquent chez les auteurs de thriller, cela permet de surprendre le lecteur à peu de frais...
Le récit est long à se mettre en place, et l'action ne décolle que dans les dernières pages. Difficile d'accrocher aux longues errances des personnages, qui semblent tous dénoués de sentiments. Il en ressort une atmosphère assez clinique, trop factuelle.
Malgré d'évidentes qualités, la nuit de l'ogre pêche par une intrigue trop morcelée, une écriture un peu convenue qui n'installe qu'un suspense aux rouages prévisibles.
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