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La musique du Diable, est-elle hideuse et cacophonique, ou bien douceâtre et séduisante ? Cela dépend des observateurs.
Depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours, nombreuses sont les descriptions des pratiques et préférences diaboliques en matière de musique. Toutes sortes d'écrits nous livrent des détails surprenants, pour avertir ou pour expliquer, pour choquer ou pour attirer, des rapports entre le Mal et la Musique : les premiers Pères de l'Eglise, les poésies médiévales, les procès de sorcellerie, les romans romantiques, les reportages contemporains.
Le Diable inspire inlassablement poètes et compositeurs : airs de danse, quadrilles, symphonies, ballets, opéras et opérettes, musiques de films. Certains musiciens virtuoses, tel Paganini, auraient été le Diable incarné.
Ce qui frappe dans tout ceci, c'est qu'au fond, le goût du public pour les frissons diaboliques et autres cauchemars n'a pas évolué depuis l'Antiquité. Les récits folkloriques, les superstitions du Moyen Age, les contes fantastiques et poèmes romantiques, les opéras et opérettes, le cinéma et la télévision modernes, nous livrent un seul et unique message : le Diable est omniprésent, en tout lieu et en tout temps ; il épouvante, mais en même temps il fascine.
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