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La complainte des indigents est l'occasion pour l'auteur de mettre en scène la chorale « Au clair de la rue ». Elle a été créée à Nantes il y a une dizaine d'années par un SDF et un ingénieur à la retraite, pour accompagner les morts de la rue à leur dernière demeure.
L'auteur développe son intrigue à partir ce fait et dans des lieux qu'il connaît bien pour y avoir vécu. Les descriptions sont précises, les atmosphères vivantes. Cette fiction policière, avec la mer en toile de fond, est en étroite relation avec la réalité sociale d'aujourd'hui.
Dans la complainte des indigents, un sans-abri est retrouvé, sauvagement assassiné, dans un square de la ville. C'est le début d'une série d'attaques visant des marginaux.
Pendant ce temps la chorale a tenu son premier concert public à l'Île d'Yeu, lors du défi des ports de pêche. Enterrements et concerts vont alors se succéder.
Le commissaire divisionnaire Barcos sollicite Adhémar Timon, ancien commissaire de Nantes à la retraite, pour venir épauler le jeune policier chargé de l'enquête. Timon va user d'un stratagème audacieux pour approcher au plus près la réalité de la rue et les conditions de vie des sans-abri et ainsi démasquer l'assassin.
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