Quel polar lire ? Les résultats de notre impitoyable enquête !
Il a tout prévu, tout calculé.
Ça ne peut pas rater. Zwak, afghan, dix-sept ans et l'air d'en avoir treize, un QI de 160, et la rage au coeur depuis que son père a été une victime collatérale des Occidentaux. Devant son ordinateur, il a programmé un jeu d'un genre nouveau. Un jeu pour de vrai, avec la France en ligne de mire. Et là-bas, en Syrie, quelqu'un a entendu son appel...
De Kaboul au désert de la mort, des villes syriennes occupées par les fanatiques de l'État islamique à la Turquie et la Roumanie, la commissaire de la DGSI Nicole Laguna et le qomaandaan Kandar, chef de la Crim de Kaboul, traquent Zwak et ses complices.
Contre ceux qui veulent commettre l'indicible, le temps est compté.
Les polars de Cédric Bannel nous emmènent très loin ! Son flic afghan est irrésistible. Delphine Peras, L'Express Cédric Bannel incarne la nouvelle tendance du page-turning' hexagonal décomplexé. Philippe Manche, Le Soir
Quel polar lire ? Les résultats de notre impitoyable enquête !
Zwan est un jeune scientifique surdoué afghan. Il a mis au point un plan extravagant qui permettrait de détruire la tour Eiffel et faire des millions de morts à Paris. On suit d'une part son parcours à travers les divers maillons de la chaîne de Daech et d'autre part celui du policier Kandar. Celui-ci ayant eu vent d'un acte terroriste de grande ampleur, il se met en relation avec la DGSI française, et chacun de leur côté, ils vont tenter de contrecarrer Zwan et ses complices.
Un roman réellement palpitant, qui démontre tous les travers des êtres humains, la corruption et la priorité donnée aux intérêts économique qui passent avant la sécurité. On apprend beaucoup, on voyage et on ne s'ennuie pas.
Zwan est un jeune scientifique surdoué afghan. Il a mis au point un plan extravagant qui permettrait de détruire la tour Eiffel et faire des millions de morts à Paris. On suit d'une part son parcours à travers les divers maillons de la chaîne de Daech et d'autre part celui du policier Kandar. Celui-ci ayant eu vent d'un acte terroriste de grande ampleur, il se met en relation avec la DGSI française, et chacun de leur côté, ils vont tenter de contrecarrer Zwan et ses complices.
Un roman réellement palpitant, qui démontre tous les travers des êtres humains, la corruption et la priorité donnée aux intérêts économique qui passent avant la sécurité. On apprend beaucoup, on voyage et on ne s'ennuie pas.
Je découvre par hasard Kaboul express et je regrette de constater que c'est le 3è opus qui relate les aventures du qomaandaan Oussama Kandar... Je vais devoir lire les précédents en ayant en tête le dernier lu - pas grave ! Excellent thriller politique ! Suspens soutenu brillamment maitrisé, un récit qui ne nous embarque au cœur du terrorisme...Menace d'attentat en plein Paris avec des personnages surprenants des rebondissements haletants...Juste un petit bémol pour la conduite de la fin du livre que j'ai ressentie comme trop rapidement écrite par rapport au contenu plus travaillé en matière de détails et d'évènements... Mais cela n'a gâché en rien le plaisir de la lecture qui m'a passionnée. Je vais m'atteler à lire les deux tomes précédents...
Comment être happée par un polar qui dessine un scénario de fin du monde pour Paris et sa proche banlieue...quand le personnage principal est un autiste asperger au QI indécent...
Excellente documentation, la construction du scénario est juste dingue!
J'en dis pas plus lisez le...de toute façon vous ne pourrez pas le lâcher...
J'accroche totalement avec cet auteur et ses personnages! Très bon polar!
Sous ses traits juvéniles d'ange se cache un véritable monstre, une machine à tuer.
Zwak n'est âgé que de dix sept ans mais il s'apprête à perpétrer un attentat d'une ampleur inédite sur le sol français.
" Kaboul Express ", publié en 2017 aux Editions Robert Laffont / La Bête Noire est signé Cédric Bannel.
Zwak n'est pas un enfant comme les autres. Il est dans son propre monde. Son QI nettement supérieur à la norme fait de lui une arme en puissance. Zwak Bradimandi est le cerveau de l'opération "Aube noire". Mais dans cet Afghanistan dans lequel il a grandi, il n'a pas d'autre porte de sortie que celle de prêter allégeance à Daech.
p. 15 : " Oui, il a fait l'allégeance à l'Etat islamique au Khorasan et il vaut maintenant rejoindre l'Etat islamique en Irak et au Levant. [...] Oui, il a élaboré un plan spécial pour frapper les infidèles, ces sales et méchants Français, plus fort qu'ils ne l'ont jamais été. "
De par ces aptitudes scientifiques hors normes, il élabore un plan minutieux, via le réseau surnommé " Kaboul Express". Mais pour prétendre intégrer ce réseau géré par les fanatiques de l'Etat islamique, il faut montrer patte blanche et faire ses preuves.
p. 94 : " L'effondrement du califat sous les coups de boutoir de la coalition exacerbe la folie meurtrière des djihadistes, pour autant que cela soit possible. "
En effet, l'Etat islamique ne met pas à sa disposition des moyens aussi colossaux que ceux que réclament Zwak, sans tester sa véritable motivation et sa détermination à mourir en martyr.
p. 167 : " Si sa haine a grandi au fil des années, elle peut avoir transformé l'adolescent en baril de poudre prêt à exploser. "
Tous les services de renseignements français sont en alerte maximale. Mais la coordination des pays de la coalition et la communication entre les services internes sont complexes.
p. 288 : " Depuis le début des attaques terroristes de Daech sur le sol européen, c'est la même chose : Allemagne, Italie, France, Hongrie, Roumanie... tous les pays sont dépassés par cette nouvelle menace multiforme qu'ils ont du mal à appréhender. A la désorganisation des pays de l'Est, s'ajoutent les problèmes juridiques de ceux de l'Ouest, handicapés par des législations protectrices des droits individuels héritées des tourments de leur propre histoire. "
Alertés par leur agent de liaison à Kaboul, qui n'est autre que le qomaandaan Kandar, chef de la Crim de Kaboul, les services de la DGSI sont sur le qui-vive. A sa tête, Nicole Laguna, la cinquantaine, est une femme d'expérience dans l'antiterrorisme.
p. 58 : " [...] après ses années d'officier à la DGSE, elle a rejoint Interpol avant de passer vingt ans dans la police judiciaire, comme numéro deux, puis comme patronne de la Brigade nationale de recherche des fugitifs. Elle est l'un des flics les plus expérimentés de France. "
La traque commence. La tension, étouffante, est palpable. Les minutes sont comptées. Aucune information n'est laissée au hasard, et tous les moyens - officiels ou officieux - sont bons pour les obtenir.
Du 18 avril au 2 mai, date choisie par Zwak pour lancer son attaque, la traque est insoutenable. Chacun connaît cette haine envers l'Occident et ceux à quoi ces fanatiques extrémistes sont prêts à faire pour atteindre leur cible.
p. 229 : " Chez Daech, couper la tête de ses ennemis est l'équivalent de la décharge de chevrotines de la mafia italienne : une signature, presque une marque de fabrique. "
Ils n'ont rien à perdre, car porter allégeance à l'Etat islamique c'est s'engager à mourir en martyr au nom de cette cause.
Alors quelle est la probabilité pour la DGSI de mettre la main sur Zwak et ses complices avant qu'ils comment l'indicible ? Des millions de vies sont en jeu.
C'est un polar hors norme qui nous plonge de Kaboul à la Syrie, et de la Turquie à Paris. Oubliez cet Afghanistan décrite par les médias, cette immersion au cœur du Kaboul Express vous glacera le dos. Entre la détermination de Daech et la traque des services antiterroristes, le monde peut basculer à tout moment.
Après « Baad », ce nouvel Opus qui met en scène Kandar, policier intègre dans l’Afghanistan gangrené par la corruption, est une vraie réussite. Bannel nous entraîne dans l’envers du décor d’un attentat terroriste, et le lecteur ne peut le lâcher le livre qu’à la dernière page.
Découverte avec « Baad » de cet auteur qui m'était inconnu et vraie bonne surprise ! Je n'ai pas été déçue par ce nouvel opus. Encore un thriller dépaysant et ô combien passionnant qui nous ferait presque aimer l'Afghanistan…
Là encore, deux enquêtes, l'une à Kaboul, l'autre en France, qui vont converger et là encore une véritable course contre la montre à travers l'Afghanistan et toute l'Europe pour déjouer un attentat dont on ne peut dire plus sans en dire trop. Ce roman, à l'aune de l'actualité, est tellement réaliste qu'il en devient presque anxiogène mais aussi rassurant quant aux moyens déployés par les services de renseignements dans la lutte anti-terroriste. Encore une fois j'ai été littéralement scotchée.
Mais au-delà de l'intrigue et du suspense, il y a tout le reste : l'Afghanistan, ses montagnes et ses déserts, sa capitale Kaboul, sa société, sa police, sa culture, ses croyances, sa violence (le sort des fillettes yazidies fait froid dans le dos). L'Afghanistan est un personnage à part entière dans les romans de Cédric Bannel, et pas seulement un décor ou juste une toile de fond. Et j'ai adoré retrouver Oussama Kandar et Nicole Laguna, sans oublier Malalai, des personnages inoubliables dont les aventures devraient se poursuivre si j'ai bien compris… Un auteur que je ne vais plus lâcher.
Un livre d'une richesse extraordinaire.
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