"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Portrait conjugué des Stambouliotes et de leur ville, ce carnet est aussi la conjugaison de deux approches de la Grande Porte, entre voyage et reportage, enquête et déambulation. Journaliste, Ariane Bonzon explore au quotidien l'identité de la cité ottomane où elle vit. Elle a été le guide de Merlin, artiste en quête de rencontres, d'images et de sensations. Ils ont pris ensemble le pouls d'Istanbul et de ses habitants au moment où le monde entier lui rappelle qu'elle est coupée en deux par le Bosphore, tiraillée en Europe et Asie, et partagée entre de multiples communautés. Ils nous invitent à les suivre à travers les rues, la culture et l'histoire, en nous présentant des Stambouliotes dont les portraits superposés dessinent celui de l'immense métropole, du patriarche grec de Fener à l'imam de Tophane, du ramasseur d'or du grand bazar au joueur de saz de Beyoglu, et de l'étudiante kurde au propriétaire de palais.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !