80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
" Le capitalisme a aujourd'hui besoin des subjectivités, il en est dépendant.
Il se retrouve donc enchaîné à ce qui, paradoxalement, le mine : parce que la résistance, l'affirmation de la liberté des hommes, c'est précisément faire valoir la puissance d'invention subjective, sa multiplicité singulière, sa capacité à produire, à partir des différences, du commun. De chair à canon de la production qu'ils étaient, les corps et les têtes se sont transformés en boulets du capitalisme.
Sans le commun, le capitalisme ne peut plus exister. Avec le commun, les possibilités de conflit, de résistance et de réappropriation sont infiniment accrues. Ravissant paradoxe d'une époque. "
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