80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Comme l'écrit Roger Munier : « l'homme n'est pas sûr de connaître le monde, de le voir, de l'entendre. Sinon il n'y aurait pas de peinture, de poésie, de musique. » En témoignent Claude Ber, écrivain, et Pierre Dubrunquez, peintre, qui nous invitent sur la scène de leur théâtre intime.
Le troisième livre de notre récente collection relève pour nous d'un état de latence qui est le propre de l'art. On ne sait pas très bien ce qui va se passer, quel titre donner à l'ouvrage, quelles oeuvres picturales choisir, quels mots retenir. C'est ainsi que jour après jour naît un nouveau Voir-Dit.
Il y a dans la rencontre de Claude Ber et Pierre Dubrunquez l'étincelle alchimique qui débouche sur une oeuvre commune. Claude ber a su rejoindre Pierre Dubrunquez derrière son miroir sans tain pour en formuler les vertiges, dans la force d'un langage qui éclaire les toiles au bord du visible.
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