"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Pour la première fois en France, le Grand Palais consacre une exposition à l'artiste crétois Domenico Theotokopoulos, dit « Greco », fondateur de l'École espagnole du XVIe siècle. L'artiste importe dans la péninsule « la couleur du Titien, les audaces du Tintoret et la force plastique de Michel-Ange ». Cette synthèse, originale mais cohérente par rapport à sa trajectoire, donne à Greco, mort quatre ans après Caravage, une place particulière dans l'histoire de la peinture : celle du dernier grand maître de la Renaissance et du premier grand peintre du Siècle d'Or. Redécouverte par les avant-gardes européennes au tournant des XIXe et XXe siècles, son oeuvre à la fois fougueuse et électrique, allie tradition et innovation dans un esprit humaniste, à l'aube du siècle d'or.
De ses débuts dans l'art byzantin à son adhésion esthétique au courant vénitien, Beaux Arts Éditions dresse le portrait de cet insatiable inventeur de formes, mettant au point des compositions innovantes et audacieuses, à la palette électrique et au trait libre et indépendant.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !