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Gerard Petrus Fieret (La Haye, 1924-2009) est l'auteur de l'une des oeuvres les plus étranges et subversives des années 1960 et 1970. Obsessionnel, insatiable, Gerard Petrus Fieret photographie des fragments du quotidien, sans hiérarchie et ne jette rien. Fieret se concentre tout de même sur certains sujets qu'il affectionne particulièrement : femmes, enfants, animaux familiers, objets et autoportraits. Sa présence, l'interaction avec ses modèles et leurs liens de complicité, parfois très sensuels, sont caractéristiques de son travail. Il n'a cessé d'expérimenter et de repousser les limites du médium photographique avec son reflex Praktica : solarisation, double exposition, griffure des négatifs, etc.
En écho à la fluidité et à la distorsion du réel que l'on retrouve dans l'oeuvre de Fieret, cette importante monographie (592 pages) au papier très fin propose un dialogue poétique entre les photographies grâce à un jeu de transparence. Quatre textes critiques de Win van Sinderen, Hripsimé Visser, Francesco Zanot et Violette Gillet, nous éclairent sur la personnalité singulière de Fieret et les multiples facettes de son travail en lien avec l'histoire de la photographie et des arts.
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