Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Voici l'insondable : mieux nous voyons notre réalité, plus elle change. Car nous changeons. Car voir nous change. Sous notre vue, notre microcosme déplace ses frontières. Il change parce qu'il se regarde. Le monde s'est tellement déplacé qu'il arrive dans son propre dos. Seul le déplacement par rapport à soi-même a un sens. L'absolu n'est pas définissable comme une réalité par rapport à laquelle la nôtre serait repérable, par rapport à laquelle nous pourrions nous situer ou nous déplacer. L'absolu, c'est la vue elle-même, la vue qui fait surgir notre réalité, tout aussi absolue.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !