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« Le monde est fatigué de la haine » écrivait Gandhi en son temps.
« Mon Dieu, qu'a-t-on fait pour mériter ça ? " se demandait une journaliste, un matin, il y a peu.
De l'étrangeté du monde a jailli cette ritournelle de mots et de dessins, autobiographie en creux d'une femme du XXIe siècle.
Le mot « fatigue » est l'un des mots les plus employés de la langue française, sûrement. Christine Waldeman s'en est emparée. Artiste, sensible au monde qui l'entoure, elle n'est pas déprimée. Elle est révoltée. De sa révolte est né cet inventaire à la Pérec.
Les dessins, langage universel, sont intimement liés au texte.
Fatigue mon amour, un cocktail d'humour et de révolte qui fait du bien.
A consommer sans modération.
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