Après « Divagations » et « Parasitages », le poète citoyen poursuit son chemin parmi les siens, interprétant leur ras-le-bol et dessinant des paraboles sur les murs de la cité.
S'il lui arrive de s'éloigner de la scène, c'est pour mieux abolir les frontières et chevaucher son prosème en toute impunité.
Aller vers d'autres sensations sous d'autres cieux pour découvrir que le désespoir est latent en tout lieu.
Que l'humain va mal, un peu partout, que la perfection est une gageure et que seul, le désir d'être, disqualifie l'anéantissement.
Il découvre aussi que l'être sans l'agir ne mène à rien et que l'être et l'agir ont besoin du réfléchir pour aller loin.
Alors, avec lui, conjuguons tous les verbes qui rendent l'être à sa raison, s'il en a une.
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