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Dans la nuit du 18 au 19 juillet de l'an 64 à Rome, le Cirque Maxime devint la proie des flammes. Avec la complicité du vent, elles allaient ravager une cité d'un million d'habitants. Le premier tome de cette Trilogie de Néron nous y promenait la veille en suivant deux pompiers ("Le Dernier Jour de Rome", en poche chez Payot). Nous les retrouvons en plein combat contre le feu dans une épopée étayée par les sources antiques, l'archéologie et les expertises scientifiques. Un véritable récit de bataille, mais nullement un procès contre Néron : il n'a pas incendié sa capitale, que trop de bois rendait vulnérable à la moindre étincelle, et il a même porté secours à ses sujets. Comme toujours sous la plume du journaliste et archéologue italien, l'Histoire devient de l'info en temps réel.
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