"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Bien avant que l'idée d'un « cinéma d'auteur » ne soit promue par les jeunes critiques des Cahiers du cinéma, Jean-Pierre Melville en expérimente concrètement les ressources en réalisant Le Silence de la Mer en 1947, et parvient à faire un film comme personne n'en avait jamais fait jusqu'alors : c'est-à-dire seul, sans carte professionnelle et presque sans budget. Pour cette raison notamment, il deviendra l'un des parrains de la Nouvelle Vague en marche, l'un de ses pères spirituels, bien qu'il ait par la suite marqué ses distances vis-à-vis du mouvement qui éclot à la fin des années 50.
Ce 44ème volume de la revue Eclipses regroupe des analyses originales de tous les films de Jean-Pierre Melville, et comprend également des études plus transversales et plurielles, s'attachant à mettre en évidence les lignes de force de sa carrière hors du commun.
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